Et nous avons fait une petite crise durant ses vacances scolaires, crise dont les éléments déclencheurs ont été le fait que je devais absolument solder mes congés 2014 et les enfants étaient avec leur papa.
On a été des parents indignes jusqu'au bout puisqu'on a collé Élisa à la pension des chiens et on s'est barré une semaine en amoureux.
Il faut dire que l'objectif premier était de faire des repérages sur la totalité du plateau des Guyane et de voir quelles possibilités se présentaient pour un passage par la route vers le Brésil et le Venezuela.
Il faut le dire tout de go: On n'a pas été déçu, vous allez découvrir au cours de cet article qu'il y a des fois où voyager ce n'est pas des vacances.
"Le poids des mots, le choc des photos" c'est parti . . . .
Derrière ce dessin d'orchidée réalisé sur le mur du jardin de Georgetown se cache une autre réalité: Le Guyana, un pays méconnu et qui au final, disons le dès l'introduction ne gagne pas à être connu.
Ce pays de 215 000 Km² compte moins d'UN million d'habitants il présente un niveau de criminalité extrêmement élevé mais ça on le savait déjà vu que la grande majorité des crimes de sang et des braquages en Guyane sont réalisés par des guyanien,s communément appelés "anglais" dans la mesure où leur pays -ancienne colonie anglaise jusqu'en 1966- est le seul pays du continent sud américain à avoir l'anglais comme langue officielle.
Le flux touristique est quasi inexistant (un peu plus de 100 000 visiteurs en 2004) alors . . . "que diable sont-ils allés faire dans cette galère" !! ?
Et bien en fait on avait une semaine devant nous, on connaissait le Suriname, il pleuvait trop côté Brésil et le prix des billets d'avion pour les îles caribéennes en période de vacances scolaires nous a un peu calmé ...
et puis j'avais lu que au Guyana en février c'était la saison sèche (c'est une des rares infos qu'on avait en partant et au moins celle-ci était vrai).
Mardi 17, nous avons donc pris la route en 4X4 direction St. Laurent du Maroni pour prendre le bac et basculer au Suriname, mais bon ça c'était du classique, on l'avait déjà fait. Change et essence à Moengo (moins d'un euro le litre ça fait plaisir) et puis en 1h30 nous voilà à Paramaribo.
Notre pension préférée était full on s'est rabattue sur une nouvelle qui venait d'ouvrir, bien que pas encore terminée elle ne manque pas de classe et notre hote est super sympa et prévenant.
On va y rester deux nuits histoire de se poser un peu et de souffler avant de repartir. On en profite d'ailleurs pour faire quelques magasins et se promener dans les rues de la capitale, le soleil est au rendez vous, tant mieux ça change un peu des trois derniers jours de pluie que l'on a eu avant de partir ...
Mais bon il n'est pas question de traîner trop longtemps, on veut voir plein de choses et découvrir d'autres horizons, alors en avant ...
En partant de Paramaribo il faudra compter 3h00 pour arriver à Nickerie (250 km), extrême ouest du Suriname qui fait face à Skeldon au Guyana. Ce qui est étonnant c'est qu'on réalisera à ce moment là que c'est de cette région que vient tout le riz que l'on voit partout en vente en Guyane et estampillé "made in Suriname". C'est un décor de rizière et de polder qui défile sous nos yeux pendant un nombre incalculables de kilomètres, c'est presque sans fin et franchement vu le peu de panneaux de signalisation on se dit qu'on s'est perdu jusqu'à ce qu'un aimable automobiliste nous confirme qu'on est sur la bonne voie.
Pour franchir la "courantyne river" une seule solution, le bac qu'ici il appelle ferry, pourquoi pas, ça fait plus riche et plus anglais mais c'est toujours la même coque à fond plat qui fait traverser les voitures quand il n'y a pas de pont !!
Le passage en douane côté surinamien se passe bien, les formalités sont assez rapides et alors que nous sommes en retard nous arrivons à attraper le ferry (sinon on était bon pour attendre 24h !!). On se dit que la chance est de notre côté, quoique ...
L'eau est boueuse à souhait, il faut dire qu'on est en pleine saison des pluies et que le fleuve charrie énormément d'alluvions. Les routes aussi sont en train de se dégrader. Plusieurs fois nous aurons été obligé d'avancer lentement sur des passages où le bitume a fait place à la terre rouge du plateau des Guyane. Mais en même temps on a un 4X4, les autochtones font la même chose avec des voitures basiques (mais là ça prend quand même plus de temps et nécessite une certaine habitude !!)
Notre ferry a pas trop fière allure vu comme ça mais bon de toute façon tout est à l'avenant et quand ça ne rouille pas ça moisit alors ma bonne dame qu'est ce que vous voulez que je vous dise.
Ah et s'il coule .... ben on a une assurance surinamaise .... qui couvre que dalle donc c'est la merde mais sinon on sait nager donc jusque là, tout va bien ...
Ça y est, la porte du ferry s'ouvre, on ne sait pas encore ce qui nous attend mais on pressent quand même que ça va être galère vu que déjà ils appliquent des règles à la con du style, seul le conducteur est dans la voiture, les passagers vont à pied jusqu'à la douane !!
Et là les emmerdements vont commencer, vu le nombre de touristes (là on est les seuls dans le ferry, les autres sont des guyaniens) et en plus véhiculés, les douanes et l'immigration vont prendre leur temps et le notre par la même occasion.
Le problème c'est que derrière on a encore 180 km en " terra incognina" pour arriver à la capitale Georgetown et se reposer sachant qu’apparemment c'est pas spécialement une partie de plaisir.
Finalement avec des sourires on passe l'immigration mais après un épluchage en règle des passeports et au moins 3 remplissage de cahiers. Mais voilà pour la voiture c'est pas la même, notre assurance n'est pas valide au Guyana (contrairement aux dires du douanier surinamais) et là on ne rigole pas avec la Loi.
On comprend alors que bien qu'en Amérique du sud, le Guyana est pour tout ce qui concerne les formalités un mélange d'Angleterre (tatillon au possible) et d'Afrique (application bête du règlement).
On ne peut donc pas rouler sans assurance, les douanes nous demandent de les suivre à Skeldon et de prendre là bas une assurance qu'il faudra faire viser par leurs services avant de reprendre enfin la route.
Aussitôt dit aussitôt fait, on est parti avec une bonne mise en garde concernant la présence d'animaux sur la route. Notre périple se termine alors au dépôt des douanes où le 4X4 est remisé et les clefs confisquées tant qu'on n'a pas notre assurance.
1h30 plus tard après avoir fait 4 bureaux d'assurance et avoir du modifier la durée de l'assurance qui ne convenait pas au chef, nous récupérons notre véhicule et prenons enfin la direction de la capitale.
Que de palabres sans fin, dans un anglais approximatif (si le notre s'améliore constamment, c'est sans compter l'accent déplorable de l'autochtone qui n'ouvre pas la bouche et mélange en plus un espèce de dialecte local qui ne rend pas les choses faciles !!)
Il nous faudra 2h30 pour arriver à Georgetown, aucun panneau de direction mais en même temps c'est pas trop grave vu qu'il y a qu'une seule route (pour tout le monde je le rappelle). L'arrivée dans la ville est terrible, c'est digne du moyen orient, on conduit au klaxon et c'est le plus gros qui a raison. Si vous pensez qu'on est avantagé, détrompez vous, même si c'est pauvre, il y a plein de gros engins de toutes sortes, la preuve ...
J'aime ce transport en commun ça permet d'entasser un maximum de personne et en plus l'aération est excellente. Ils sont joueurs avec leur "60 PERSONS" ... pourquoi ils ont rajouté "DO NOT PUSH" d’après vous !!
On découvrira pas grand chose de la ville ce soir là, on est crevé et on prend le 1° hôtel venu (au demeurant plein de surprises mais on ne peut pas tout raconter sinon on fait une saga, pas un blog ;-)
C'est le lendemain en nous rendant au consulat du Suriname (une autre aventure incroyable mais bon ...) que nous entamerons notre première approche de la capitale, je vous laisse apprécier en plaçant de brefs commentaires.
Pour la petite histoire, quand vous allez faire du change c'est dans un "chinois" au 1° étage et dès que vous entrez en bas le mec vous observe attentivement tout en jouant négligemment (si, si ) avec un fusil à pompe canon court.
Il faut le dire cette destination ne nous a pas emballé, vous l'avez bien compris mais malgré tout les gens rencontrés ont été sympathiques mais souvent pris dans un carcan de principes aberrants. Bien que l'anglais soit la langue officielle, celui qui est pratiqué est loin d'être châtié du moins pour les gens de la rue.
La misère est omniprésente partout surtout lorsque la nuit tombe, les gens qui dorment dehors, la prostitution et bien sur l'alcool, remède à bas coût de cette situation.
Lors d'un transfert en taxi (obligatoire dès que la nuit tombe et franchement vu qu'il n'y a pas de trottoir ni d'éclairage public et au regard du prix env. 2 euros il vaut mieux !) on a compris que le pays était sclérosé par la corruption et ce quelque soit le régime en place. L'objectif de chacun est d'arriver au pouvoir et de s'en mettre plein les poches avant de se faire virer !!!
On a quand même visiter la ville avec ses contrastes, je vous laisse apprécier:
Georgetown a aussi son zoo qui loin d'être aussi fameux que celui de Cayenne a le mérite d'exister et de prendre soin des animaux. On en a ramené quelques belles photos pour le reste derrière les barreaux, ça fait pas rêver ...
Bon ben voilà, on a passé quelques jours au Guyana, en application du principe que l'on s'était fixé, à savoir que si on déplaçait notre centre géographique on devait mettre à profit le temps que nous avions pour découvrir les pays et le continent où nous nous trouvions.
Pas de grands souvenirs, mais toujours un certain dépaysement même si nous sommes dans la continuité du plateau des Guyane. Enfin pas vraiment la peine d'aller si loin, la Guyane et le Suriname offrent autant de belles choses et de façon beaucoup plus simples et beaucoup plus "safe".
Une petite excursion qui se boucle et déjà nos yeux et nos rêves se portent vers de nouvelles destinations toutes aussi exotiques et qui devraient nous permettre de mieux connaître le continent sud américain.
Et si jamais vous avez envie de venir, dîtes vous que rien ne vaut la découverte sur place avec son propre ressenti et ses yeux écarquillés devant tant de beauté.
A bientôt . . . .
Mardi 17, nous avons donc pris la route en 4X4 direction St. Laurent du Maroni pour prendre le bac et basculer au Suriname, mais bon ça c'était du classique, on l'avait déjà fait. Change et essence à Moengo (moins d'un euro le litre ça fait plaisir) et puis en 1h30 nous voilà à Paramaribo.
Notre pension préférée était full on s'est rabattue sur une nouvelle qui venait d'ouvrir, bien que pas encore terminée elle ne manque pas de classe et notre hote est super sympa et prévenant.
On va y rester deux nuits histoire de se poser un peu et de souffler avant de repartir. On en profite d'ailleurs pour faire quelques magasins et se promener dans les rues de la capitale, le soleil est au rendez vous, tant mieux ça change un peu des trois derniers jours de pluie que l'on a eu avant de partir ...
Mais bon il n'est pas question de traîner trop longtemps, on veut voir plein de choses et découvrir d'autres horizons, alors en avant ...
En partant de Paramaribo il faudra compter 3h00 pour arriver à Nickerie (250 km), extrême ouest du Suriname qui fait face à Skeldon au Guyana. Ce qui est étonnant c'est qu'on réalisera à ce moment là que c'est de cette région que vient tout le riz que l'on voit partout en vente en Guyane et estampillé "made in Suriname". C'est un décor de rizière et de polder qui défile sous nos yeux pendant un nombre incalculables de kilomètres, c'est presque sans fin et franchement vu le peu de panneaux de signalisation on se dit qu'on s'est perdu jusqu'à ce qu'un aimable automobiliste nous confirme qu'on est sur la bonne voie.
Pour franchir la "courantyne river" une seule solution, le bac qu'ici il appelle ferry, pourquoi pas, ça fait plus riche et plus anglais mais c'est toujours la même coque à fond plat qui fait traverser les voitures quand il n'y a pas de pont !!
Le passage en douane côté surinamien se passe bien, les formalités sont assez rapides et alors que nous sommes en retard nous arrivons à attraper le ferry (sinon on était bon pour attendre 24h !!). On se dit que la chance est de notre côté, quoique ...
Ouf ! on est dedans, reste plus qu'à attendre sagement d'arriver au Guyana |
L'eau est boueuse à souhait, il faut dire qu'on est en pleine saison des pluies et que le fleuve charrie énormément d'alluvions. Les routes aussi sont en train de se dégrader. Plusieurs fois nous aurons été obligé d'avancer lentement sur des passages où le bitume a fait place à la terre rouge du plateau des Guyane. Mais en même temps on a un 4X4, les autochtones font la même chose avec des voitures basiques (mais là ça prend quand même plus de temps et nécessite une certaine habitude !!)
Notre ferry a pas trop fière allure vu comme ça mais bon de toute façon tout est à l'avenant et quand ça ne rouille pas ça moisit alors ma bonne dame qu'est ce que vous voulez que je vous dise.
Ah et s'il coule .... ben on a une assurance surinamaise .... qui couvre que dalle donc c'est la merde mais sinon on sait nager donc jusque là, tout va bien ...
Ça y est, la porte du ferry s'ouvre, on ne sait pas encore ce qui nous attend mais on pressent quand même que ça va être galère vu que déjà ils appliquent des règles à la con du style, seul le conducteur est dans la voiture, les passagers vont à pied jusqu'à la douane !!
Et là les emmerdements vont commencer, vu le nombre de touristes (là on est les seuls dans le ferry, les autres sont des guyaniens) et en plus véhiculés, les douanes et l'immigration vont prendre leur temps et le notre par la même occasion.
Le problème c'est que derrière on a encore 180 km en " terra incognina" pour arriver à la capitale Georgetown et se reposer sachant qu’apparemment c'est pas spécialement une partie de plaisir.
Finalement avec des sourires on passe l'immigration mais après un épluchage en règle des passeports et au moins 3 remplissage de cahiers. Mais voilà pour la voiture c'est pas la même, notre assurance n'est pas valide au Guyana (contrairement aux dires du douanier surinamais) et là on ne rigole pas avec la Loi.
On comprend alors que bien qu'en Amérique du sud, le Guyana est pour tout ce qui concerne les formalités un mélange d'Angleterre (tatillon au possible) et d'Afrique (application bête du règlement).
On ne peut donc pas rouler sans assurance, les douanes nous demandent de les suivre à Skeldon et de prendre là bas une assurance qu'il faudra faire viser par leurs services avant de reprendre enfin la route.
Aussitôt dit aussitôt fait, on est parti avec une bonne mise en garde concernant la présence d'animaux sur la route. Notre périple se termine alors au dépôt des douanes où le 4X4 est remisé et les clefs confisquées tant qu'on n'a pas notre assurance.
Et oui la route c'est pour tous le monde !! |
On a dit tout le monde !!! c'est un usager de la route lui aussi ..... |
Que de palabres sans fin, dans un anglais approximatif (si le notre s'améliore constamment, c'est sans compter l'accent déplorable de l'autochtone qui n'ouvre pas la bouche et mélange en plus un espèce de dialecte local qui ne rend pas les choses faciles !!)
Il nous faudra 2h30 pour arriver à Georgetown, aucun panneau de direction mais en même temps c'est pas trop grave vu qu'il y a qu'une seule route (pour tout le monde je le rappelle). L'arrivée dans la ville est terrible, c'est digne du moyen orient, on conduit au klaxon et c'est le plus gros qui a raison. Si vous pensez qu'on est avantagé, détrompez vous, même si c'est pauvre, il y a plein de gros engins de toutes sortes, la preuve ...
J'aime ce transport en commun ça permet d'entasser un maximum de personne et en plus l'aération est excellente. Ils sont joueurs avec leur "60 PERSONS" ... pourquoi ils ont rajouté "DO NOT PUSH" d’après vous !!
On découvrira pas grand chose de la ville ce soir là, on est crevé et on prend le 1° hôtel venu (au demeurant plein de surprises mais on ne peut pas tout raconter sinon on fait une saga, pas un blog ;-)
C'est le lendemain en nous rendant au consulat du Suriname (une autre aventure incroyable mais bon ...) que nous entamerons notre première approche de la capitale, je vous laisse apprécier en plaçant de brefs commentaires.
Les rues de la capitale, ce qu'on préfère c'est les baraques très chics !! |
On a aussi un faible pour les trottoirs, inexistants et quand on voit la conduite, on regrette ... |
Fort taux de criminalité oblige tout est grillagé pour empêcher les braquages. |
Il faut le dire cette destination ne nous a pas emballé, vous l'avez bien compris mais malgré tout les gens rencontrés ont été sympathiques mais souvent pris dans un carcan de principes aberrants. Bien que l'anglais soit la langue officielle, celui qui est pratiqué est loin d'être châtié du moins pour les gens de la rue.
La misère est omniprésente partout surtout lorsque la nuit tombe, les gens qui dorment dehors, la prostitution et bien sur l'alcool, remède à bas coût de cette situation.
Lors d'un transfert en taxi (obligatoire dès que la nuit tombe et franchement vu qu'il n'y a pas de trottoir ni d'éclairage public et au regard du prix env. 2 euros il vaut mieux !) on a compris que le pays était sclérosé par la corruption et ce quelque soit le régime en place. L'objectif de chacun est d'arriver au pouvoir et de s'en mettre plein les poches avant de se faire virer !!!
On a quand même visiter la ville avec ses contrastes, je vous laisse apprécier:
L'unique grand magasin de la capitale ... |
Le vrai lieu d'approvisionnement, le marché, digne du souk de Damas ;-) |
Georgetown a aussi son zoo qui loin d'être aussi fameux que celui de Cayenne a le mérite d'exister et de prendre soin des animaux. On en a ramené quelques belles photos pour le reste derrière les barreaux, ça fait pas rêver ...
Apparemment il nous a bien repéré, on s'est tenu loin quand même .... |
Ils n'étaient pas tous présents, mais la peinture est jolie non ?!? |
Bon ben voilà, on a passé quelques jours au Guyana, en application du principe que l'on s'était fixé, à savoir que si on déplaçait notre centre géographique on devait mettre à profit le temps que nous avions pour découvrir les pays et le continent où nous nous trouvions.
Pas de grands souvenirs, mais toujours un certain dépaysement même si nous sommes dans la continuité du plateau des Guyane. Enfin pas vraiment la peine d'aller si loin, la Guyane et le Suriname offrent autant de belles choses et de façon beaucoup plus simples et beaucoup plus "safe".
Une petite excursion qui se boucle et déjà nos yeux et nos rêves se portent vers de nouvelles destinations toutes aussi exotiques et qui devraient nous permettre de mieux connaître le continent sud américain.
Et si jamais vous avez envie de venir, dîtes vous que rien ne vaut la découverte sur place avec son propre ressenti et ses yeux écarquillés devant tant de beauté.
A bientôt . . . .